La preuve scientifique que ces hallucinations s’accompagnent d’une hyperexcitabilité corticale par Painter et al. : les patients atteints de ce syndrome présentaient une activité électrique corticale (EEG) supérieure aux témoins âgés et aux patients de maculopathie sans syndrome de Charles Bonnet lorsqu’ils percevaient des stimuli dans le champ visuel périphérique.
Des patients atteints ont bénéficié d’une IRM fonctionnelle (Ffytche et al., Nat. Neurosci.) afin de mettre en évidence des activations spécifiques de certaines zones du cerveau. Une certaine spécificité a été mise en évidence entre le type d’hallucination (visage, couleur, motif) et la localisation de l’hyperactivité pathologique focale du cortex occipital. Ceci pose la question de l’unicité et de la spécificité des hallucinations visuelles par patient ou d’une vulnérabilité plus diffuse du cortex occipital, qui n’est pas formellement résolue à ce jour.
"Le syndrome de Charles BonnetDe nouvelles données scientifiques" table of contents
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