Article publié en janvier 2012
Cette étude rétrospective a permis d’analyser 110 yeux de 62 patients diagnostiqués entre janvier et décembre 2010.
Sur 43 yeux (n = 110) présentant une DMLA atrophique, il a été noté une hyper réflectivité en NIR et FA, une hypo réflectivité FAF et NIA, et la perte des photos récepteurs en SD-OCT. En bordure de la zone d’atrophie géographique, l’hyper autofluorescence était plus marquée en NIA qu’en FAF ; ceci correspondait à une hyper réflectivité choroïdienne modérée en SD OCT.
Cette étude a démontré l’importance de l’imagerie multimodale et plus particulièrement celle de la NIA qui peut détecter plus précocement la perte de cellules de l’épithélium pigmentaire en bordure de l’atrophie comparativement à la FAF dans la DMLA atrophique.
Traduit par Nathalie Massamba et Mayer Srour